Un plan sans action n’est qu’un rêve. Une action sans plan est un cauchemar.

Une semaine d’octobre dédiée à la planification de projet

Humble formatrice, j’ai eu le privilège d’être le témoin cette semaine, de cette alchimie merveilleuse où le service public se transforme en poésie urbaine !

La planification de projet n’a rien à voir avec des tableaux Excel. C’est un sport de combat. Un exercice de haute voltige où l’imagination se mêle à la folie douce des services publics.

C’est ce que j’ai découvert en plongeant de nouveau dans l’univers fascinant des agents de la métropole de Grenoble et de Nice, lors d’une semaine de formation qui restera gravée dans ma mémoire.

A Grenoble

Dès le premier jour, j’ai senti l’énergie crépiter dans la salle. Ces agents, loin des « clichés poussiéreux », étaient des feux follets prêts à embraser leurs projets.

Beaucoup à la verve flamboyante, ont transformé un simple diagramme de Gantt en une épopée digne d’Homère ! Leurs yeux brillaient quand ils parlaient de leurs nouveaux projets !

Même chose à Nice !

Sous un soleil complice, nous avons libéré les esprits et les corps. Des magiciens du pilotage de projet, tissaient des récits captivants, transformant de simples rénovations en contes urbains enchanteurs.

Les heures passaient, et je voyais ces serviteurs de l’intérêt général se métamorphoser. Ils n’étaient plus de simples agents, mais des architectes de rêves, des sculpteurs de possibles.

Les projets prenaient vie, nourris par leur passion et leur créativité débordante. Hier, à Nice, l’émotion était palpable. Face aux membres d’un comité de pilotage, les participants ont dévoilé des projets audacieux, poétiques, profondément humains.

En les regardant présenter, fiers et inspirés, j’ai compris que j’avais assisté à quelque chose de rare et précieux. Ces femmes et ces hommes, souvent dans l’ombre, sont les véritables héros de nos cités.

Ils transforment les contraintes en opportunités, les chiffres en histoires, les plans en aventures. La planification de projet est un art, une danse subtile entre le concret et le rêve.

Ils sont les gardiens de nos espoirs collectifs, les artisans discrets de notre futur.

En quittant la salle, le cœur gonflé de fierté et d’espoir, j’ai su que ces projets allaient bien au-delà des tableaux et des échéanciers.

Ils étaient le battement de cœur de nos villes, le souffle de vie de nos communautés.

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